Princesse Sara
Publié le 29 Janvier 2012
Bonjour ! Aujourd’hui je vais vous présenter une BD que j’ai découverte grâce à Alice : une adaptation du roman Une Petite Princesse, de Burnett, en bande-dessinée. Vous connaissez peut-être l’animé… Personnellement, je ne l’ai jamais regardé et n’ai jamais lu le livre.
J’ai été très attirée par la couverture de cette BD, par ses dessins ; après avoir lu un petit résumé de l’histoire, je me suis empressée d’acquérir le tome 1 : j’ai été ravie ! Le lendemain, j’ai acheté les tomes 2 et 3, que j’ai lu très rapidement. Enfin, le surlendemain, je suis allée m’acheter le tome 4… Ce sont les toutes premières BD que j’achète, et vous l’aurez compris, c’est un vrai coup de cœur pour moi ! Les dessins, réalisés par Nora Moretti sont vraiment fabuleux, ainsi que la mise en couleur de Claudia Boccato.
L’histoire quant à elle (écrite par Audrey Alwett), c’est celle de Sara, une jeune fille dont le père est immensément riche. Il
la place dans un pensionnat à Londres tandis qu’il retourne pour ses affaires aux Indes. Malheureusement, il meurt là-bas et laisse Sara sans le sous. C’est l’occasion pour Mme Minchin, la
directrice du pensionnat, d’extérioriser toute sa haine et sa jalousie envers la petite fille, qui passe de privilégiée à domestique… Mais Sara parvient à surmonter tout cela et à rester digne,
grâce à un petit monde qu’elle se créé (elle s’imagine être une princesse, tantôt enfermée à la Bastille, tantôt amnésique) et à ses amies qui lui restent fidèles. Dans le tome 3, un voisin
s’installe dans la maison à côté du pensionnat et est à la recherche d’une très riche héritière…
Ces 4 tomes forment un premier cycle ; à la fin de l’année, sortira un tome 5 qui commencera un deuxième cycle des aventures de
Princesse Sara.
Je ne peux que vous recommander ces BD ; je les ai littéralement dévorées !
J’ai par ailleurs beaucoup apprécié le petit côté steampunk (les « live dolls » ou automates, remplacent certains personnages, et font partis des « achats » de ces hommes et femmes du XIXème siècle).
Cette lecture est aussi ma première contribution au challenge victorien d’Aymeline.